Comtesse Despoisons Etranger
Nombre de messages : 39 Age : 40 Date d'inscription : 26/01/2007
| Sujet: [Fiche Présentation] Comtesse Despoisons - Validée - Sam 27 Jan 2007, 05:30 | |
| Prénom & Nom :Comtesse Despoisons Elle n'a jamais révélé son vrai nom à qui que ce soit et ceux qui le connaissait son mort. Age & Date de Naissance :22 ans. née le jour 321 pendant la saison du colosse. Lieu de Naissance :Dans les catacombes à coté de l'Abbey de Asford Origines :Royaume d’Ascalon, dans la guilde majeur qui soutient grenth Profession :La necromancie est l'art qu'elle manipule le plus et plus particulièrement les poisons lent et douloureux. Apparence/Physique :C'est une jeune femme chetive, elle semble pouvoir se briser comme du verre si quelqu'un la touchait par mégarde mais ce qui frappe le plus est la couleur dorée de ses yeux qui est du à l'histoire de sa naissance. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Caractère :Pendant sa jeunesse, elle fut battu par son père et n'était pas très expressive. On aurait dit qu'elle n'avait aucune émotion et ne possédait aucun ami. La seule chose qui l'interressait était les poisons que ses ancêtres avaient collectionnés. Puis suite à certains évènements, elle s'est affirmée et à lutter contre son propre père. Depuis, elle ne se laisse plus marcher sur les pieds mais reste indéférente aux autres. D'un penchant sadique, ce qu'elle préfère le plus est de faire souffrir ses ennemies avec l'aide de ces assassins si discret que sont les poisons. Avoir sa confiance est très dur mais si vous parvenez a devenir son ami, elle vous sera a jamais fidelle peu importe le prix. Famille :Issue d'une guilde majeur d'ascalon, son père (Alexi, vous êtes pas censé le savoir) était le chef de la famille, il fut tuer par Comtesse. La femme d'Alexi se suicida en avalant du poison et tenta de tuer notre héroïne. La soeur de Alexi, tante augusta, est enfermée dans un monastère pour traitment de troubles mentaux. | |
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Comtesse Despoisons Etranger
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| Sujet: Re: [Fiche Présentation] Comtesse Despoisons - Validée - Sam 27 Jan 2007, 05:31 | |
| Histoire : Mon histoire commença quand j’avais 11 ans. J’étais une enfant très seule, tout le monde m’ignorait. Mes rares amis étaient les animaux de compagnies que Père m’offrait. J’étais tout le temps très faible, on pouvait même dire que j’étais chétive. Mes journées se ressemblaient toutes. Toutes les personnes qui vivaient dans le château m’ignoraient et j’ignorais pourquoi. Seul Père me parlait. Il m’était interdit de sortir de ma chambre, aussi des précepteurs venaient m’enseigner la magie des nécromanciens. Quand les cours étaient finis, je m’amusais avec mon oiseau. Arrivé le milieu de l’après-midi, m’offrait toujours un thé et me proposait toujours un sucre avec. Mais comme un jeu, je refusais à chaque fois.
Un jour, après le cour de magie de mort de Numme, je découvris mon oisillon mort dans sa cage. Bien qu’il m’était interdit de sortir, je suis allé dehors en pleine nuit pour enterrer mon ami dans le jardin. C’est pendant que je récitais une prière que je fus découvert. Au début, je crus que Père m’avait trouvé mais il s’agissait d’une jeune fille, nommé Emma. En me voyant, sa première réaction fut la même que toutes les personnes que j’avais rencontrées jusqu’aujourd’hui ont eut en me voyant, elle était absorbée par mes yeux. Il faut dire que leurs couleurs, or, étaient bien singulières. Je l’interrogea sur les grimoires qu’elle tenait dans ses mains et elle m’expliqua qu’il s’agissait des paroles de Dwaynadont-t elle suivait les cours au monastère céleste avant qu’un incendie ne ravage sa maison et qu’il ne tue tout le monde. Emma m’expliquait que Père l’avait recueilli à la demande du testament laissé par sa famille. Comme le gigantesque incendie avait emmené sa famille, sa richesse et son titre, elle fut engagée en tant que dame de compagnie.
Pendant ses explications, prise de fatigue, je me suis évanouie dans ses bras. Alors qu’elle me rattrapa, elle découvrit le plus terrible de mes secrets, les cicatrices de mon dos. Elle récita une incantation pour essayer de faire reprendre connaissance. Pendant que je me réveillai, Père nous découvrit. Voyant qu’Emma avait découvert les marques de mon dos, il nous ordonna de le suivre. Pendant qu’Emma m’aidait à marcher, je savais pertinemment ce qu’il allait arriver car cela arrivait chaque fois que je désobéissais à Père. Il nous conduisait dans la salle à coté de sa chambre. Elle était décorée comme toutes les pièces du château avec des tableaux, des rideaux. Il y avait au-dessus de la cheminé le portrait de tante Augusta. Au milieu de la pièce, il y avait une petite table. Père m’ordonna d’enlever ma chemise et de m’appuyer sur la table. Sous les yeux d’Emma, il sortis un fouet et commença à me fouetter. Emma fut choquée par cette vision mais, hélas, elle ne pouvait rien faire. - Vas-tu enfin comprendre ? Tu sais que je ne fais pas ça par plaisir !! C'est pour toi, pour te permettre d'obtenir le pardon de Grenth
Quand Père eut fini, il se retourna vers le tableau et fuma sa pipe arborant un sourire satisfait. Emma me conduisit dans ma chambre et soigna mes blessures. Pendant les soins, elle remarqua que les cicatrices ne dataient pas toutes du même jour. Depuis ma plus tendre enfance, Père me battait à chaque fois que je lui désobéissais. Pour la rassurer, je lui dis que Père m’aimait, qu’il faisait ça pour mon bien. Je lui expliqua que lorsque Mère s'était suicidée en buvant du poison, elle était devenue folle et elle avait essayé de me tuer. Ce jour-là, pour la première fois, il me pris dans ses bras. Le lendemain, Emma entra dans ma chambre, elle fut étonnée de ma voire seule car normalement je devrais être en cours avec Numme. Je lui expliqua que je l’avais renvoyé car elle est avait dit que la couleur de mes yeux était dû à un problème de consanguinité. Je profita de la présence d’Emma pour me débarrasser de la cage. Je lui expliqua que j’en avais plus besoin car je l’avais, elle. Une fois débarrassée de la cage, je lui montra un passage que moi seule connaissait dans le château. Il conduisait dans une salle où étaient entreposés des milliers de flacons de poison, ces assassins ci-discrets. Je les considère comme mes amis. Des plus virulents, au plus lent, de ceux qui ne font pas souffrir à ceux qui forceraient celui qui a la plus forte détermination à se porter soit même le coût de grâce. Ils ont été rassemblés par le premier de mes ancêtres : Le comte Caïn. Je voulais présenter Emma à mes amis et aussi leurs présentés ma tante dont j’avais apporté un portrait. - Mes amis, je vous présente Emma, et voici ma tante. Je ne l’ai vue qu’une fois. Alors que j’étais toute petite, je suis allé la voir. Elle me prise dans ses bras. Ma fille, comme je suis content de te voir, gentille petite fille. Mais, où sont tes cornes?! Et tes ailes noires? Où est ta queue? Aaah ! Tu as utilisé la magie de tes yeux. Tu veux me tuer moi aussi petite diablesse? Tels sont les mots qu’elle prononça avant d’être ramené dans sa chambre. Plus tard, je sus que nous étions dans un monastère de Dwaynaoù l'on priait pour soigner différentes maladies de l'esprit. Voyez-vous, ma mère ne s’est jamais approchée de moi, alors quand Tante Augusta me pris dans ses bras, j’ai eut le sentiment enfin d’avoir un mère. -Ah ! Vous étiez là ! dit Père en nous découvrant.
Alors que père allait frapper Emma je me suis placée entre les deux pour la protéger. Après avoir pris le coup destiné à Emma, Père me demanda de sortir pour parler avec elle. Commençant à douter de l’amour paternel, je décida, une fois dans ma chambre, de vérifier quelques petites choses. Il faut dire qu’étudier les grimoires de mon ancêtre m’avait apprise énormément de choses. Je venais de trouver ce que je cherchais qu’en Emma rentra dans ma chambre. Je lui présenta le résultat et elle en fût stupéfaite. De l’arsenic était dissout dans les sucres du thé. Bien que les conclusions à tenir fussent t’évidant et qu’Emma tenta de le faire entendre raison, je me refusa de croire que Père tentait de me tuer. Me sentant faible, je confia à Emma mon désire d’être dans les bras d’une mère, dans les bras de tante Emma comme l’autre fois.
Le lendemain, sans la permission de Père, je suis allée voir Tante Augusta au monastère. C'est en me voyant qu'elle hurla de terreur des choses qui n'avaient aucun sens : - Frère, N'APPROCHE PAS!! NON! PERSONNE NE NOUS PARDONNERA JAMAIS !
C'est alors que Lyssa apparut devant moi et fis confondre en moi les souvenirs de ma tante. Elle avait eu un enfant de père et sombra dans la folie peu de temps après l'accouchement. Quand la vision fut terminée, Lyssa disparue et ma tante se jeta par la fenêtre. Je courus auprès de ma tante et agonisante suite à sa chute, dans un dernier instant de lucidité, elle me dit : - Ma pauvre enfant !! Sauve-toi, quand je serai morte, ton père ne te pardonnera pas. Depuis toujours, il aime torturer. Il prend plaisir à nous regarder souffrir… ne capitule pas comme je l'ai fait… mon …enfant… À cet instant je me suis souvenu des mots de père le jour où mère s’est suicidé. - Ca va aller, c'est juste un cauchemar … Oublie tout … et ainsi tu pourras vivre un peu plus longtemps.
Quelque chose se brisa en moi. Non, ce n'est pas le terme exact, c'est plutôt comme-ci je venais de sortir de la coquille d'illusion que je mettais faite. Je me suis alors rendu compte que je l'avais toujours su mais que je refusais d'y croire : père me détestait. Et ma tante avait sombré dans la folie après avoir donné naissance à la fille de son propre petit frère. Cela expliquait la particularité de mes yeux.
Quand je suis rentée, Père était déjà informé que sa sœur était morte et que j'étais présente. Je m'attendais à une des habituelles séances de fouet mais non, il m’attendait dans le petit salon et me proposa un thé pour me réconforter. - Et moi qui pensais que vous me détestiez, Père
Deux secondes plus tard, j'étais au sol. Tout en portant sa pipe à sa bouche, Père dit : - Non, ma fille, je ne te déteste pas, je te hais au point de vouloir que tu crèves! Tu ne peux plus m'entendre, tu ne le pourras plus jamais, mais… La seule femme que j'ai jamais aimée, c'était ma sœur… mais après t'avoir mise au monde, elle est devenue folle. Ma famille m'a forcé à contracter un mariage dont je ne voulais pas, à cause de toi !! Dis-moi un peu, comment aurais-je pu t'aimer? J'aurais dû me débarrasser de toi en même temps que de ma femme. Cette femme stupide qui croyait que je ne l'aimais pas par ta faute ! Après avoir pris le poison, elle s'était mise à ta recherche pour te tuer… - Je m'en souviens, père ! Ce parfum était très plaisant, non? J'avais remplacé l'arsenic que vous utilisiez pour empoisonner les sucres par de la poudre de rose… alors si le thé dégageait une odeur de rose, ça voulait dire que quelqu'un voulait me tuer. - Sale petite… - Je ne crains plus vos coups de fouet, Père! C'est alors que Père appela Emma qui apparue aussitôt et lança une dague dans sa direction, la tuant sur le coup. - Alors chère fille, tu vois ce que ça fait de perdre l'être que l'on aime le plus au monde. Pendant qu'Emma s'écroula avec la dague de père dans le cœur. En me précipitant en direction d'Emma, Père se mis à cracher du sang et bredouilla : - Du … poison?! Mais comment? - Je savais que vous fumiez toujours la pipe lorsque vous étiez satisfait. Et je savais que vous le seriez dès que vous m'auriez cru mort. - Tu es vraiment une démone mais souviens-toi bien…
Et rassemblant ces dernières forces, il me jeta sa plus terrible des malédictions, celle d'un mourrant. Quand le cœur de père s'arrêta, un éclair foudroya le bâtiment et le détruisit. Je fus la seule survivante. Depuis ce jour, j'ai erré dans les rues d'Ascalon, pensant tous les jours à la malédiction de Père.
Peu de temps après mes dix-sept ans, pendant mon errance, je vis une petite fille qui ressemblait à Emma, se faire attaquer par un charr. Et sans que je m'en rende compte, j'ai utilisé le savoir de mon ancêtre pour détruire ce monstre, qui allait tuer une deuxième fois mon Emma. Pendant que je m’approcha de la petite fille pour savoir si tout allait bien, le prince Rurik qui avait vu la scène s'approcha de nous. Je savais que c'était le prince Rurik car je l'avais déjà vu défendre la veuve et l'orphelin dans les rues d'Ascalon. - Dite madame, vous êtes une héroïne qui tue les monstres avec le prince Rurik? Demanda la petite fille. - Cela est ma fois vrai petite fille mais dit-moi qu’elle est ton nom ? demanda le prince Rurik. - Gwen, monseigneur. - Et bien Gwen, je crois que tu devrais rentrer chez toi. C'est le visage plein de joie et au bord des larmes que je vis Emma partir belle et bien vivante. Pendant que Gwen disparue derrière le rempart, j'entendis le prince Rurik :
- Gente demoiselle, peut-être nous trouverez-vous un brin cavalier, mais je ne puis résister à l’envie de quérir votre présence a nos cotés afin de parcourir plaines, montagnes et forets de notre pays afin de pourfendre d’une juste épée ces monstruosités Charr qui nous envahissent. - Désoler de vous décevoir mais je ne trouve pas que ce pays soit si beau que ça. J'ai agit par instinct car cette petite fille me rappelle la seule amie que j'ai jamais eue. Et si je décide de vous aider, ce n'est ni pour vous ou ce royaume mais pour protéger le seul souvenir que j'ai d'elle. - Alors qu'il en soit ainsi. Mademoiselle? Donner mon nom, moi qui avais passé tant d’année à l'oublier. C'est alors que je me suis rappelée du surnom de mon ancêtre, le comte Caïn. - On m'appelle "la comtesse des poisons". - Chère Comtesse, je ne connais qu’une personne qui peut oser espérer porter ce titre. Et aux vus de vos faits d’arme d’il y a peu. Je peux vous dire que vous êtes digne de le porter. Il paraît que la ligné du dernier homme à avoir porter ce titre a disparue il y a neuf ans, même si on n'a jamais retrouvé la dernière descendante de cet homme. De plus, il me semble que vous avez le même tempérament de cet homme dont l'histoire est contée dans les archives du château.
Gwen mourut lors de la fournaise. Mais je resta au service du prince Rurik car j'avais réussi à me faire des amis qui mettait devenu aussi cher qu'Emma. Parmi eux se trouve Kho la voix du vent, Evatith Linne, Lucie Cœur de feu et bien d’autres. Tous nous nous sommes rassemblés, un soir, pour former une guilde où nous pourrions tous vivre comme nous l’entendions et aussi nous protégé les uns les autres. Il y a quelques fois des petites dissonances et généralement Kho se fait toujours martyriser par les autres mais c’est la meilleure pour organiser les réunions si l’on veut tous faire un truc ensemble. Eva est toujours à la taverne où son ardoise est égale au budget d’un royaume mais elle est toujours prête à vous soigner entre deux gueules de bois. Lucie est la seule personne capable de calmer le jeu quand tout le monde s’emballe même si elle a toujours pas réussi à faire taire Devris notre bavard à nous.
Grâce à eux, je fus libéré de la malédiction de Père : - Tu ne connaîtras jamais le bonheur !! Personne ne t'aimera jamais…et tu mourras seule et abandonnée…n'oublie pas cela… | |
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